Neige, biologiste (Batz-sur-Mer), pigiste pour Ouest-France, témoigne de ce que lui apporté la formation à distance proposée par l’ESJ Paris.
Avant de me tourner vers le journalisme, j’ai suivi un parcours scientifique avec six années d’études en biologie. Durant cette période, j’ai eu l’opportunité de travailler dans un laboratoire, une expérience qui m’a beaucoup enrichie sur le plan professionnel. Parallèlement, mon engagement en tant que conseillère municipale m’a sensibilisé aux enjeux de santé publique et m’a donné le goût de transmettre des informations au plus grand nombre.
Dans le cadre de mon travail au laboratoire et face à des patients souvent en détresse, par manque de compréhension de leur propre maladie, j’ai ressenti le besoin de valoriser mes connaissances scientifiques auprès d’un plus large public. C’est cette envie de rendre l’information accessible et utile qui m’a poussée à intégrer une école de journalisme.
Mon choix s’est porté sur l’ESJ Paris pour plusieurs raisons : sa notoriété et la qualité de son enseignement, mais aussi son programme à distance, qui m’a permis de continuer mes projets professionnels sur la côte Atlantique sans bouleverser totalement ma vie. Cette flexibilité m’a également permis de travailler en parallèle comme pigiste pour Ouest France, une expérience qui a renforcé mes compétences pratiques et mon ancrage dans le journalisme de terrain.
Je suis extrêmement satisfaite de ma formation à l’ESJ Paris. Elle a complété les bases pratiques que j’avais acquises sur le terrain et m’a donné la maturité nécessaire pour prétendre officiellement au titre de journaliste. L’enseignement à distance est une réelle opportunité pour ceux qui souhaitent se reconvertir ou suivre une formation tout en exerçant une autre activité. De même, je pensais la marche haute pour passer d’une formation scientifique à une autre plus littéraire, mais mes peurs se sont vite effacées, et je vois des parallèles évidents dans le mécanisme de questionnement et de recherche d’exactitudes, de la biologie au journalisme. La preuve que les parcours peuvent se croiser.
Sans la flexibilité de l’EAD, je n’aurais peut-être jamais osé me lancer dans cette profession. Aujourd’hui, je suis fière de pouvoir concilier ma passion pour la science, la santé publique et le journalisme au service du plus grand nombre.
