
Quand l’actualité surgit au cœur de notre école de journalisme : Benjamin Brière, retenu trois ans dans les geôles iraniennes, apprend en pleine soirée des « Mardis de l’ESJ » la libération de Cécile Kohler et Jacques Paris.
Il est 19h23 ce mardi 4 novembre, Benjamin Brière est avec nos étudiants, sur le point de terminer le récit poignant de son quotidien d’otage, des souffrances inimaginables subies, et de sa lutte chaque minute contre l’errance, le désespoir et la folie, derrière les barreaux de Mashhad… Tout l’objet de son livre « Azadi », qui signifie « Liberté », en persan. Il aborde sans filtre les défis nombreux de son retour en France, pour une vie à continuer à construire. En particulier son combat sans relâche possible, pour faire libérer les deux derniers Français détenus par la République islamique d’Iran.
Voici l’instant précis où Benjamin Brière, qui a passé trois ans dans les geôles iraniennes, apprend la libération de Cécile Kohler et Jacques Paris.
— ESJ Paris | École supérieure de journalisme Paris (@ESJParis) November 4, 2025
👉 Il était venu parler aux étudiants et présenter son livre, Azadi, « liberté » en persan. L’instant ne pouvait pas être mieux… pic.twitter.com/lMcdW1vQwS
Hier soir, nos apprentis journalistes ont vécu avec une intensité singulière la libération de Cécile Kohler et Jacques Paris… Et la délivrance intérieure de Bertrand Brière.
Une soirée inoubliable, où le réel a transformé l’apprentissage en expérience.


